Rose Halima

Cette rose porte ton nom ma meilleure amie et tu me manques terriblement, tu as fait ce geste de désespoir que je comprends et que personne ne doit juger.
Les psy, médecins, les proches, les amis ... en général ... qui jugent et qui affirment que c'est uniquement de la responsabilité et de la faute de la personne qui se suicide. Particulièrement ces soit disant toubibs feraient mieux de changer de métier et de se remettre en question au lieu de juger les gens sans connaître leurs réelles souffrances et la profondes douleurs qui empêchent toute réelle objectivité et vivre sereinement au quotidien.
Voir des gens souffrir comme il disent, ne leur permet pas de d'être indifférent, c'est un métier qu'ils ont choisi et qu'ils n'assument pas, ce ne sont pas eux qui subissent cette profonde détresse dans la souffrance physique et psychologique et dont le seul souhait est d'être soulagé, guéri ... un combat quotidien vraiment pénible et traumatisant. Mais sans cette solution se soulager de ce poids trop lourd, trop pénible ... en plus d'un passé et d'un présent lors qui efface toute perspective d'avenir, plonge inévitablement dans le désespoir.
Personne n'a le droit de juger, de critiquer, de parler de choses qu'ils ne connaissent pas, ni les toubibs qui ne dérogent certainement pas à la règle ... y a qu'à, faut que ... des paroles de gens heureux, en bonne santé et qui baignent dans le bonheur. Tant mieux pour eux ... mais pas de chance pour ceux qui souffrent.
C'est toujours le malade qui est responsable, c'est toujours au malade d'accepter que les autres sourient, et profitent de la vie, c'est toujours facile pour un médecin de fuir ses responsabilités quand celui ci ne sais pas, par orgueil et fierté, c'est tellement plus simple de mettre ça sur le compte de la maladie imaginaire, le psychosomatique ... les gens souffrent réellement, mais c'est totalement virtuel !
Je suis désolé ma chère Halima de ne pas avoir été là quand tu en avais le plus besoin, je ne t'ai pas assez aidé comme il fallait, j'étais trop égoïste dans ma souffrance et je m'en veux terriblement. Je suis malheureux de ne plus te voir et de plus pouvoir te taquiner, ce que j'adorais tant, nos balades ou tu étais toujours motivées, enthousiaste, souriante ...
Tu étais une terrible tête de mule, mais d'une honnêteté unique, droite, un cœur gigantesque comme je n'en j'aimais vu, t'oubliant au passage et toujours prête pour aider les autres ...
Les vraies personnes comme toi sont utilisées par les autres par intérêt, mais ces gens te tournent le dos quand toi tu as besoin d'un petit d'aide ... tu n'es plus intéressant et tu finis seul dans ta souffrance et ton désespoir.
En conclusion, plus tu es gentil, sensible, honnête, généreux ... comme toi Halima ... la vie ne t'aide pas, car des petites choses anodines pour des gens heureux et dans le bonheur n'ont aucune importances, mais prennent des proportions traumatisantes, s'accumulent et te démolissent à petit feu avec le temps au point de ne plus en avoir rien à foutre de la vie. Cette vie qui n'a plus aucune saveur ni intérêt, comme un brouillard permanent et de plus en plus épais.
Je parle de toi ma chère amie car tu me manques, de plus en plus ... et surtout je comprends, je sais ce que tu a pu ressentir le 31 décembre 2011 et pourquoi tu l'as fait ... j'espère que nous nous reverrons, dans la lumière ...
J'espère que tu es heureuse où tu es, tu le mérites ... j'espère à très bientôt ...

Les rosiers, ou églantiers, forment un genre de plantes, le genre Rosa de la famille des Rosaceae, originaires des régions tempérées et subtropicales de l'hémisphère nord. Ce sont des arbustes et arbrisseaux sarmenteux et épineux. Suivant les avis souvent divers des botanistes, le genre Rosa comprend de 100 à 200 espèces qui s'hybrident facilement entre elles^[1].

Plusieurs espèces et de nombreux cultivars, issus de mutations ou de croisements, sont cultivés comme plantes ornementales pour leurs fleurs, les roses. Celles-ci constituent la plus importante catégorie des fleurs coupées, vendues chez les fleuristes^[2], mais les rosiers sont aussi cultivés pour la production d'essence de parfumerie.

Les plantes du genre Rosa sont des arbustes ou de petits arbrisseaux épineux au port dressé, atteignant en général deux à cinq mètres de haut. Rosa ×odorata nothovar. gigantea peut toutefois atteindre 15 mètres de haut^[3] dans son aire d'origine (Birmanie) et 10 mètres en culture en climat tempéré, tandis que des espèces naines, telle Rosa minutifolia ne dépassent pas les 75 cm de haut.

Elles forment des tiges aériennes arquées, portant des aiguillons (ainsi que parfois les pétioles des feuilles). Ces aiguillons sont des excroissances de l'épiderme et finissent par tomber sur les tiges les plus âgées. La souche émet chaque année de nouvelles tiges. Certaines espèces sont très drageonnantes, telle Rosa rugosa, qui tend à former de véritables fourrés.

Les feuilles sont alternes, caduques (parfois persistantes), composées (à folioles opposées), imparipennées (avec une foliole terminale), présentant le plus souvent de sept à dix folioles au limbe elliptique acuminé, au bord denté. Elles sont munies de stipules à la base du pétiole. Ces stipules sont des appendices foliacés qui sont le plus souvent « adnés », c'est-à-dire adhèrent au pétiole sur leur longueur, et parfois libres, rarement absents. Leur forme est variable selon les espèces : entière, dentée, pectinée ou lobée.